Au même titre que son Batman, The Dark Prince Charming (Dargaud, 2017), sous nos yeux les personnages de Noir Burlesque semblent bouger. En règle générale, en lisant du Marini nous n’avons pas l’impression de lire une BD, mais de voir un film. Cependant, bien que les planches soient impressionnantes, en refermant Noir Burlesque, un grand sentiment d’inachevé persiste.