Des critiques, toujours actuelles, considèrent que Noël est devenu à cause de la marque américaine, beaucoup trop commerciale, perdant ce qui est censé être l’essentiel pendant ces temps de fêtes : le partage de la magie de Noël. La nuit du 24 au 25 décembre n’est pas que la nuit où le Père Noël distribue les cadeaux aux enfants du monde entier.
C’est également la naissance de l’enfant Jésus Christ pour les catholiques. Pendant tout le XXe et XIe siècle, il a fallu s’approprier cette célébration de Noël, gardant l’image du Père Noël pour les enfants, tout en conciliant les fêtes religieuses.
Cette nuit-là n’est donc pas la même visée en fonction des personnes. Mais elle reste magique malgré tout, car quoiqu’il en soit, l’arrivée du Père Noël dans notre société renvoie à une symbolique un lien d’affection de l’attachement familial, du partage et des souvenirs d’enfance.
Grâce à ses représentations artistiques pour des publicités, la culture du Père Noël s’est développé à travers le temps. De Saint-Nicolas, en passant par des figures païennes, le Père Noël d’aujourd’hui distribue les cadeaux non plus le 6, mais dans la nuit du 24 au 25 décembre, à l’aide de son traineau magique tiré par 9 rennes. Ce mythe évolue au fil du temps, connaissant désormais un succès mondial.
Bien que dans certains pays, il n’existe aucune tradition de Noël, le personnage du Père Noël a réussi à s’y implanter grâce à sa popularité auprès des plus jeunes (et des moins jeunes !). Les éléments chrétiens et païens s’y mêlent, réunissant tous les ingrédients pour célébrer comme il se doit, le rassemblement, le partage et la figure du Père Noël, au sein de chaque foyer.