Une fois de plus, Newt et Jacob sauvent la saga. Le magizoologiste incarne ce qu’on attend de l’univers d’Harry Potter : un coeur grand, loyal et droit, des combats internes et externes à mener malgré lui, de l’humour, de la tendresse, de l’amitié. Jacob rayonne d’humanité et apporte humilité et sentiments dans ce monde magique.
Des séquences comiques pimentent ces moments sombres et allègent l’ambiance. La malice de Dumbledore fait la pluie et le beau temps.
Les animaux fantastiques (c’est tout de même le nom de la saga !), sont encore un peu présents, mais ne sont malheureusement que des outils pour les sorciers, qui les utilisent pour arriver à leurs fins.
Néanmoins, sans eux, le film traine la patte. Le résultat est assez décevant. Les spectateurs ont l’impression que la Warner a installé des élements scénaristiques dont elle ne sait plus quoi faire. Résultat : on se dépatouille comme on peut pour un résultat qui tient à peine debout.