Les épisodes partent dans tous les sens, sont brouillons et manquent de cohérence dans le rythme, comme dans les scénarios. Ils tournent en rond, n’évoluent pas et la surenchère de la violence et des explosions deviennent lassantes. Ce n’est plus Casa de Papel, mais un mélange entre Prison Break et le jeu vidéo Call of Duty (comme l’ont fait remarquer certains tweetos)… C’est la roue libre totale, du grand n’importe quoi, disons le.
Il y a des morts certes, mais même elles sont terriblement mal gérées… C’est pour dire ! Très peu de place pour l’émotion au milieu de tout ce vacarme. Le départ de Nairobi a-t-il plongé le tournage et les personnages dans un chaos aberrant ?
De quoi faire perdre toute motivation pour regarder la toute dernière partie de Casa de Papel, qui sortira sur Netflix le 3 décembre 2021.